



Cette semaine, nous retrouvons Didier, à St Christophe en Aveyron.
J’ai repris l’exploitation en 2005 suite au départ à la retraite de mon père. Je suis en individuel, mon frère m’aide pour les travaux des champs et le salarié de la Cuma intervient 1 à 2 jours par mois. J’ai 28 vaches et les génisses de renouvellement sur l’exploitation.
J’exerce un autre métier : je suis technicien troupeau bovin lait. Mes journées sont donc longues surtout en hiver quand vaches et génisses sont dedans. Ayant une petite exploitation, j'ai souhaité conserver cette activité que j'exerçais avant mon installation par passion et pour conforter les revenus de ma ferme.
J’aime les vaches et mon métier de producteur de lait. Je me souci de la santé et du confort de mes animaux, j'ai découvert l’homéopathie il y a 2 ans. L’objectif étant de se perfectionner pour réduire les traitements avec les médicaments vétérinaires. Je suis des formations (2 à 3 journées par an) : une partie théorique en salle et pour la partie pratique nous allons les exploitations de chacun des participants.
Je suis adhérent Mont Lait depuis sa création car cela permet de valoriser les produits issus du territoire difficile qu’est la montagne. Il faut croire aux projets et les mettre en avant pour les faire grandir !!
Cette année avec l'arrivée des beaux jours, mes vaches ont pu retrouver les pâturages dès le 1° mars.
Sur la 1ère photo, on peut voir Naomie, Occitane, Niagara et Mignonne. Je choisis les noms des veaux en fonction de celui de la mère (cela m'aide à retrouver les ascendances).
La mère de Naomie est Légende, la mère d’Occitane est Lozère, la mère de Niagara est Lola, la mère de Mignonne est Jolie.
Sur la 2ème photo, on peut voir Lola : sa mère est Héroïne et Marquise dont la mère est Histoire.





Cette semaine, nous retrouvons Didier, à St Christophe en Aveyron.



Derrière Mont Lait se cache tout un territoire, mais aussi et surtout des hommes et des femmes animés par la passion et l’engagement.
Être éleveur, cela s’exprime au quotidien : soigner les animaux, les nourrir avec une alimentation de qualité, être attentif à leur bien-être. Pas de vacances, pas de jours fériés pour les vaches. Et pourtant, vous verrez que nos éleveurs sont heureux. En effet ils ont la chance d’exercer un métier passion !
Nos éleveurs sont aussi engagés auprès de la société. Responsables d’une partie de votre alimentation quotidienne, ils sont soucieux de produire un lait de qualité, tant sur le plan sanitaire, que nutritionnel et gustatif. Fidèles à cet engagement, ils ont décidé, à travers l’association des producteurs de lait de montagne, de mettre en place un cahier des charges, garantissant l’authenticité de leur démarche :
- Respect du bien-être animal, en laissant les vaches pâturer et ainsi exprimer leur comportement naturel,
- Respect de l’environnement, en préservant les prairies,
- Respect du consommateur, en produisant un lait riche des bienfaits d’une alimentation basée sur l’herbe.
La mise en place de ce cahier des charges est actuellement en cours.

Maryse

Maryse

Cette semaine, nous vous présentons Maryse qui a une ferme à Auzon – Haute Loire.
Le GAEC a été créé en 1993 entre la mère, le frère et la sœur avec du lait 70 000 l, 600 brebis, une activité touristique avec un gîte d’enfant, et des plantes médicinales. Au fil du temps, le GAEC a évolué avec retraités et des entrées / sorties d’associés pour diverses raisons ce qui a été difficile à vivre.
Aujourd'hui le GAEC est constitué d’un jeune associé depuis mai 2020, de mon mari et moi-même. Nous avons 60 vaches laitières 400 000 l de lait, 450 brebis, 170 ha et une zone d’estive pour les brebis.
Nous avons toujours notre activité touristique avec le gite d d’enfant : de futurs fermiers en herbe !! Depuis 1995 des centaines d'enfants et de touristes sont venus dans les gîtes ruraux et ont pu découvrir notre travail d’agriculteur avec les animaux et la vie au grand air …. des souvenirs pleins la tête !!!
Avec l’arrivée de Sébastien en 2020, nous avons un nouveau souffle de jeunesse sur l'exploitation.
Pour nous Montlait nous redonne l’envie de parler de notre lait et de ses qualités et redonne un sens à notre production car on ne peut pas tout transformer.
Le GAEC nous a permis de nous organiser avec du temps pour nos familles, un statut sur l’exploitation pour les femmes.
Être femme sur une exploitation demande de la détermination, un peu de muscle, de l'adaptation de tous les jours surtout avec 3 enfants, de la passion et de l’organisation.
Sur notre commune l'épicerie a disparue depuis 3 ans. En plein confinement des personnes se sont mobilisées pour aider les personnes isolées. L'idée est venue d'ouvrir une épicerie associative avec des produits locaux et fermiers. Pour nous GAEC du Lavandin, cela faisait partie de la dynamique de la commune aussi en devenant bénévole j’ai proposé les produits Montlait qui récoltent un grand succès !


























































Maryse

Maryse

Cette semaine, nous vous présentons Maryse qui a une ferme à Auzon – Haute Loire.
Le GAEC a été créé en 1993 entre la mère, le frère et la sœur avec du lait 70 000 l, 600 brebis, une activité touristique avec un gîte d’enfant, et des plantes médicinales. Au fil du temps, le GAEC a évolué avec retraités et des entrées / sorties d’associés pour diverses raisons ce qui a été difficile à vivre.
Aujourd'hui le GAEC est constitué d’un jeune associé depuis mai 2020, de mon mari et moi-même. Nous avons 60 vaches laitières 400 000 l de lait, 450 brebis, 170 ha et une zone d’estive pour les brebis.
Nous avons toujours notre activité touristique avec le gite d d’enfant : de futurs fermiers en herbe !! Depuis 1995 des centaines d'enfants et de touristes sont venus dans les gîtes ruraux et ont pu découvrir notre travail d’agriculteur avec les animaux et la vie au grand air …. des souvenirs pleins la tête !!!
Avec l’arrivée de Sébastien en 2020, nous avons un nouveau souffle de jeunesse sur l'exploitation.
Pour nous Montlait nous redonne l’envie de parler de notre lait et de ses qualités et redonne un sens à notre production car on ne peut pas tout transformer.
Le GAEC nous a permis de nous organiser avec du temps pour nos familles, un statut sur l’exploitation pour les femmes.
Être femme sur une exploitation demande de la détermination, un peu de muscle, de l'adaptation de tous les jours surtout avec 3 enfants, de la passion et de l’organisation.
Sur notre commune l'épicerie a disparue depuis 3 ans. En plein confinement des personnes se sont mobilisées pour aider les personnes isolées. L'idée est venue d'ouvrir une épicerie associative avec des produits locaux et fermiers. Pour nous GAEC du Lavandin, cela faisait partie de la dynamique de la commune aussi en devenant bénévole j’ai proposé les produits Montlait qui récoltent un grand succès !
























































