Nos éleveurs
100%producteurs
Simon
Il nous parle de lui, de son métier

Cette semaine, nous retrouvons Simon à Flavin en Aveyron.

Je suis installé depuis 2016, j'ai pris la suite de mon père qui avait l'âge de la retraite.

L'exploitation compte 70 hectares pour 60 vaches.

Les vaches pâturent à partir du mois de mars jusqu'au mois d'octobre novembre suivant les conditions météo de l'automne.

Je suis passionné par la race Montbéliarde que mon père a introduit dans le troupeau au début des années 90, aujourd'hui il y a 70% de Montbéliarde dans le troupeau.

Je participe à quelques concours avec les vaches ce sont des moments conviviaux entre éleveurs et toujours un plaisir de faire défiler ses vaches.

 

Simon

Cette semaine, nous retrouvons Simon en Aveyron.

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Derrière Mont Lait se cache tout un territoire, mais aussi et surtout des hommes et des femmes animés par la passion et l’engagement.

Être éleveur, cela s’exprime au quotidien : soigner les animaux, les nourrir avec une alimentation de qualité, être attentif à leur bien-être. Pas de vacances, pas de jours fériés pour les vaches. Et pourtant, vous verrez que nos éleveurs sont heureux. En effet ils ont la chance d’exercer un métier passion !

Nos éleveurs sont aussi engagés auprès de la société. Responsables d’une partie de votre alimentation quotidienne, ils sont soucieux de produire un lait de qualité, tant sur le plan sanitaire, que nutritionnel et gustatif. Fidèles à cet engagement, ils ont décidé, à travers l’association des producteurs de lait de montagne, de mettre en place un cahier des charges, garantissant l’authenticité de leur démarche :

  • Respect du bien-être animal, en laissant les vaches pâturer et ainsi exprimer leur comportement naturel,
  • Respect de l’environnement, en préservant les prairies,
  • Respect du consommateur, en produisant un lait riche des bienfaits d’une alimentation basée sur l’herbe.

La mise en place de ce cahier des charges est actuellement en cours.

Joris
Joris
Joris
Joris
Cette semaine, nous retrouvons Joris du GAEC des Portes du Gévaudan à Saugues (Haute Loire) Mon père s’est installé en 1983 avec des vaches et des brebis. Dans les années 90 il a arrêté les brebis pour passer à 35 vaches laitières. Je me suis installé avec mon père en 2014. Je savais ce que je voulais faire de l’élevage depuis tout petit. Je suis dedans depuis toujours, j’ai la passion pour les vaches et pour les Montbéliardes. Je fais quelques concours de temps en temps mais il y a du niveau sur le département alors il faut vraiment de très bonnes vaches ! En 2018, mon père a cédé sa place à mon frère. Mon père, à 3 ans de la retraite à fait du remplacement et a été ouvrier dans des communes proches. Aujourd’hui bien qu’il soit retraité, il est souvent avec nous pour donner un coup de main. Mon frère était ouvrier agricole avant de me rejoindre. Avec mon frère les tâches sont réparties : je m’occupe plus des vaches et lui, il gère les terres. On arrive également à se garder du temps libre pour pouvoir faire d’autres choses, on est jeunes mon frère à 24 ans et moi 27. Je fais beaucoup de moto, on a une vie à côté de la ferme même si on y passe beaucoup de temps. Et je suis impliqué dans plusieurs bureaux, j’aime échanger avec les gens. L’année prochaine on récupère des terres familiales qui nous permettront d’être plus autonomes pour produire l’alimentation de nos vaches.
jacques et Stéphane
Jacques et Stéphane
jacques et Stéphane
Jacques et Stéphane
Cette semaine, nous retrouvons Jacques et Stéphane du GAEC des Myrtilles dans le village de Bugeac en Haute-Loire. Le GAEC est situé à 1200m d’altitude. Jacques s’est installé avec notre père puis Stéphane nous a rejoint dans les années 90. A l’époque, les quotas ne nous permettaient pas d’augmenter le litrage donc avec la venue de Stéphane, nous introduisons un troupeau de vaches allaitantes. En 2000, nous avons construit le bâtiment que vous voyez sur la photo. Dès 2011, nous avons adhéré à Mont Lait pour permettre une meilleure valorisation de notre lait. Nos vaches sont des Abondances, et ce, depuis toujours. Elles sont mieux adaptées à la montagne mais ont un peu plus de caractère que les Montbéliardes. Nous en avons une quarantaine qui sortent du 1er mai à la Toussaint environ. Cette année avec l'arrivée des beaux jours, mes vaches ont pu retrouver les pâturages dès le 1° mars. Sur la 1ère photo, on peut voir Naomie, Occitane, Niagara et Mignonne. Je choisis les noms des veaux en fonction de celui de la mère (cela m'aide à retrouver les ascendances). La mère de Naomie est Légende, la mère d’Occitane est Lozère, la mère de Niagara est Lola, la mère de Mignonne est Jolie. Sur la 2ème photo, on peut voir Lola : sa mère est Héroïne et Marquise dont la mère est Histoire.
Sandrine et Sylvain
Sandrine et Sylvain
Sandrine et Sylvain
Sandrine et Sylvain
Cette semaine, nous retrouvons Sandrine et Sylvain du GAEC de Chaux dans le Puy de Dôme. Notre ferme est située à Chaux en zone de montagne. Nous sommes deux associés et un salarié à travailler sur notre ferme qui compte 100 vaches laitières et 200 ha de terres. Le GAEC a été crée en 2008. Je m’occupe principalement de la traite et de l’administratif, mon mari s’occupe lui de la traite, des animaux et du terrain. Le travail du salarié se concentre essentiellement sur les travaux au champ. Historiquement, il y avait déjà des vaches laitières sur la ferme avant notre installation. Mon mari les préfère aux allaitantes. Donc à son installation en 2000, il a gardé des vaches laitières. Nous sommes sur une exploitation familiale qui s’est modernisée. Nous venons de mettre en place un nouveau bâtiment nous donne un meilleur confort de travail notamment pour la traite des vaches. Notre activité devrait donc durer.
Patrice
Patrice
Patrice
Patrice
Cette semaine, nous retrouvons Patrice du GAEC DE LA VEYSSAIRE à Landos (43). Nous sommes en Gaec avec mon beau-frère sur la commune de Landos en Haute Loire à 1120m d’altitude, avec une dominante élevage. Nous étions en Gaec chacun de notre côté avec nos pères qui ont pris leur retraite. Ils ont été remplacés par nos mères à la création du Gaec de La Veyssaire en 2007. Depuis nos mères ont fait valoir leurs droits à la retraite et nous nous retrouvons à 2 pour l’instant. L’exploitation s’étend sur 215 ha : ¾ d’herbe et le reste est en céréales et lentilles vertes du puy AOC. Pour ma part je suis pompier volontaire depuis 20 ans sur la commune de Landos où le centre réalise entre 100 et150 interventions par an pour la population des alentours. C’est une tâche qui est intéressante qui demande de la disponibilité, de la rigueur dans les soins apportés ainsi que de la compréhension de la détresse des victimes et de l’entourage et qui reste essentielle dans nos campagnes.
Cécile
Cécile
Cécile
Cécile
Cette semaine, nous retrouvons Cécile du GAEC les Trois chênes à Pontaumur dans le Puy de Dôme. J’ai 45 ans, je me suis installée dès ma sortie d’école en 1997 en GAEC sur l’exploitation existante de mes parents et après avoir loué 25ha à proximité. L’exploitation se compose de 88 ha dont 10h de céréales pour nos vaches. Au départ le cheptel se composait de 60 vaches laitières dont le lait en vendu en coopérative. Le cheptel laitier est aujourd’hui en diminution au vu du départ à la retraite proche de mes parents Michelle et Joël. Une autre production de vaches allaitantes se met en place pour réduite la charge de travail. Mon conjoint Laurent a également une exploitation laitière sur 100 ha et un poulailler label à une quinzaine de kilomètres, situés dans les Combrailles. Nous avons deux garçons de 12 et 15 ans qui nous aident aux travaux de la ferme pendant les vacances. Nous avons adhéré à MONTLAIT dès le début et je suis fière de représenter cette marque sur les briques de lait !!
Stéphane
Stéphane
Stéphane
Stéphane
Cette semaine, nous retrouvons Stéphane en Haute Loire. Mon exploitation est située sur la commune de Saugues, sur le plateau de Margeride en Haute-Loire. Je suis en zone de montagne à 1100 m d’altitude. J’ai 57 ha de terres dont 45 ha sont des prairies naturelles pâturées par mes 32 vaches laitières et la vingtaine de génisses. Mes vaches sont des Montbéliardes, il y avait des vaches Abondances et des brebis sur la ferme avant mais j’ai préféré garder les Montbéliardes. J’ai adhéré à Mont Lait en 2011, dans un contexte où notre produit était très peu reconnu notamment par les collecteurs de lait. On me disait que ce serait de l’argent perdu mais aujourd’hui on voit que Mont Lait est présent un peu partout et nous avons des retours financiers. nt nous apportent une diversité dont on ne se lasse pas.
Joris
Joris
Joris
Joris
Cette semaine, nous retrouvons Joris du GAEC des Portes du Gévaudan à Saugues (Haute Loire) Mon père s’est installé en 1983 avec des vaches et des brebis. Dans les années 90 il a arrêté les brebis pour passer à 35 vaches laitières. Je me suis installé avec mon père en 2014. Je savais ce que je voulais faire de l’élevage depuis tout petit. Je suis dedans depuis toujours, j’ai la passion pour les vaches et pour les Montbéliardes. Je fais quelques concours de temps en temps mais il y a du niveau sur le département alors il faut vraiment de très bonnes vaches ! En 2018, mon père a cédé sa place à mon frère. Mon père, à 3 ans de la retraite à fait du remplacement et a été ouvrier dans des communes proches. Aujourd’hui bien qu’il soit retraité, il est souvent avec nous pour donner un coup de main. Mon frère était ouvrier agricole avant de me rejoindre. Avec mon frère les tâches sont réparties : je m’occupe plus des vaches et lui, il gère les terres. On arrive également à se garder du temps libre pour pouvoir faire d’autres choses, on est jeunes mon frère à 24 ans et moi 27. Je fais beaucoup de moto, on a une vie à côté de la ferme même si on y passe beaucoup de temps. Et je suis impliqué dans plusieurs bureaux, j’aime échanger avec les gens. L’année prochaine on récupère des terres familiales qui nous permettront d’être plus autonomes pour produire l’alimentation de nos vaches.
jacques et Stéphane
Jacques et Stéphane
jacques et Stéphane
Jacques et Stéphane
Cette semaine, nous retrouvons Jacques et Stéphane du GAEC des Myrtilles dans le village de Bugeac en Haute-Loire. Le GAEC est situé à 1200m d’altitude. Jacques s’est installé avec notre père puis Stéphane nous a rejoint dans les années 90. A l’époque, les quotas ne nous permettaient pas d’augmenter le litrage donc avec la venue de Stéphane, nous introduisons un troupeau de vaches allaitantes. En 2000, nous avons construit le bâtiment que vous voyez sur la photo. Dès 2011, nous avons adhéré à Mont Lait pour permettre une meilleure valorisation de notre lait. Nos vaches sont des Abondances, et ce, depuis toujours. Elles sont mieux adaptées à la montagne mais ont un peu plus de caractère que les Montbéliardes. Nous en avons une quarantaine qui sortent du 1er mai à la Toussaint environ. Cette année avec l'arrivée des beaux jours, mes vaches ont pu retrouver les pâturages dès le 1° mars. Sur la 1ère photo, on peut voir Naomie, Occitane, Niagara et Mignonne. Je choisis les noms des veaux en fonction de celui de la mère (cela m'aide à retrouver les ascendances). La mère de Naomie est Légende, la mère d’Occitane est Lozère, la mère de Niagara est Lola, la mère de Mignonne est Jolie. Sur la 2ème photo, on peut voir Lola : sa mère est Héroïne et Marquise dont la mère est Histoire.
Sandrine et Sylvain
Sandrine et Sylvain
Sandrine et Sylvain
Sandrine et Sylvain
Cette semaine, nous retrouvons Sandrine et Sylvain du GAEC de Chaux dans le Puy de Dôme. Notre ferme est située à Chaux en zone de montagne. Nous sommes deux associés et un salarié à travailler sur notre ferme qui compte 100 vaches laitières et 200 ha de terres. Le GAEC a été crée en 2008. Je m’occupe principalement de la traite et de l’administratif, mon mari s’occupe lui de la traite, des animaux et du terrain. Le travail du salarié se concentre essentiellement sur les travaux au champ. Historiquement, il y avait déjà des vaches laitières sur la ferme avant notre installation. Mon mari les préfère aux allaitantes. Donc à son installation en 2000, il a gardé des vaches laitières. Nous sommes sur une exploitation familiale qui s’est modernisée. Nous venons de mettre en place un nouveau bâtiment nous donne un meilleur confort de travail notamment pour la traite des vaches. Notre activité devrait donc durer.
Patrice
Patrice
Patrice
Patrice
Cette semaine, nous retrouvons Patrice du GAEC DE LA VEYSSAIRE à Landos (43). Nous sommes en Gaec avec mon beau-frère sur la commune de Landos en Haute Loire à 1120m d’altitude, avec une dominante élevage. Nous étions en Gaec chacun de notre côté avec nos pères qui ont pris leur retraite. Ils ont été remplacés par nos mères à la création du Gaec de La Veyssaire en 2007. Depuis nos mères ont fait valoir leurs droits à la retraite et nous nous retrouvons à 2 pour l’instant. L’exploitation s’étend sur 215 ha : ¾ d’herbe et le reste est en céréales et lentilles vertes du puy AOC. Pour ma part je suis pompier volontaire depuis 20 ans sur la commune de Landos où le centre réalise entre 100 et150 interventions par an pour la population des alentours. C’est une tâche qui est intéressante qui demande de la disponibilité, de la rigueur dans les soins apportés ainsi que de la compréhension de la détresse des victimes et de l’entourage et qui reste essentielle dans nos campagnes.
Cécile
Cécile
Cécile
Cécile
Cette semaine, nous retrouvons Cécile du GAEC les Trois chênes à Pontaumur dans le Puy de Dôme. J’ai 45 ans, je me suis installée dès ma sortie d’école en 1997 en GAEC sur l’exploitation existante de mes parents et après avoir loué 25ha à proximité. L’exploitation se compose de 88 ha dont 10h de céréales pour nos vaches. Au départ le cheptel se composait de 60 vaches laitières dont le lait en vendu en coopérative. Le cheptel laitier est aujourd’hui en diminution au vu du départ à la retraite proche de mes parents Michelle et Joël. Une autre production de vaches allaitantes se met en place pour réduite la charge de travail. Mon conjoint Laurent a également une exploitation laitière sur 100 ha et un poulailler label à une quinzaine de kilomètres, situés dans les Combrailles. Nous avons deux garçons de 12 et 15 ans qui nous aident aux travaux de la ferme pendant les vacances. Nous avons adhéré à MONTLAIT dès le début et je suis fière de représenter cette marque sur les briques de lait !!
Stéphane
Stéphane
Stéphane
Stéphane
Cette semaine, nous retrouvons Stéphane en Haute Loire. Mon exploitation est située sur la commune de Saugues, sur le plateau de Margeride en Haute-Loire. Je suis en zone de montagne à 1100 m d’altitude. J’ai 57 ha de terres dont 45 ha sont des prairies naturelles pâturées par mes 32 vaches laitières et la vingtaine de génisses. Mes vaches sont des Montbéliardes, il y avait des vaches Abondances et des brebis sur la ferme avant mais j’ai préféré garder les Montbéliardes. J’ai adhéré à Mont Lait en 2011, dans un contexte où notre produit était très peu reconnu notamment par les collecteurs de lait. On me disait que ce serait de l’argent perdu mais aujourd’hui on voit que Mont Lait est présent un peu partout et nous avons des retours financiers. nt nous apportent une diversité dont on ne se lasse pas.